« Fantaisie » de Gérard de Nerval : texte à trous autocorrectif

Il est un pour qui je donnerais
Tout Rossini, tout et tout Weber,
Un air très-vieux, et funèbre,
Qui pour moi seul a des secrets.

Or, chaque fois que je viens à l',
De deux ans mon âme rajeunit :
C'est sous Louis treize; et je voir s'étendre
Un coteau vert, que le jaunit,

Puis un château de à coins de pierre,
Aux vitraux de rougeâtres couleurs,
Ceint de grands , avec une rivière
Baignant ses pieds, qui entre des fleurs ;

Puis une dame, à sa haute ,
Blonde aux yeux noirs, en ses anciens,
Que dans une autre peut-être,
J'ai déjà vue... et dont je me !