« Le Lièvre et la Tortue » de Jean de La Fontaine : texte à trous autocorrectif N°3 (tout la fable)

Rien ne sert de ; il faut à point.
Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez
Sitôt que moi ce but. - Sitôt ? Êtes-vous ?
Repartit l'animal .
Ma commère, il vous faut
Avec grains d'ellébore.
- Sage ou non, je parie encore.
Ainsi fut fait : et de tous deux
On mit près du les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on .
Notre Lièvre n'avait que quatre pas à ;
J' de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être
Il s' des chiens, les aux Calendes,
Et leur fait arpenter les .
Ayant, dis-je, du de reste pour brouter,
Pour dormir, et pour
D'où vient le , il laisse la Tortue
son train de Sénateur.
Elle part, elle s'évertue ;
Elle se hâte avec .
Lui cependant une telle victoire,
Tient la gageure à peu de ,
Croit qu'il y va de son
De partir tard. Il , il se ,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la . À la fin quand il vit
Que l'autre touchait presque au de la carrière,
Il comme un trait ; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la Tortue la première.
Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas ?
De quoi vous sert votre ?
Moi, l'emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une ?