« Oceano nox » de Victor Hugo : texte à trous autocorrectif (strophes 1 à 3)

Oh ! combien de , combien de
Qui sont joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne se sont évanouis !
Combien ont disparu, et triste fortune !
Dans une mer sans , par une nuit sans lune
Sous l' océan à jamais enfouis !

Combien de patrons avec leurs équipages !
L' de leur vie a pris toutes les pages
Et d'un il a tout sur les flots !
Nul ne saura leur fin dans l'abîme .
Chaque vague en passant d'un s'est chargée ;
L'une a saisi l'esquif, l'autre les !

Nul ne sait votre sort, pauvres têtes !
Vous à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts morts des inconnus.
Oh ! que de parents, qui n'avaient plus qu'un rêve
Sont morts en tous les jours sur la grève
Ceux qui ne sont pas !